Je te parle ici d’un tarot qu’on utilise pas pour “savoir si on va rencontrer l’amour avant l’été”, mais pour se recentrer, pour y voir plus clair dans ses élans intérieurs. Ce genre d’approche, on la retrouve chez certains passionnés de tarot profond, comme ceux qu’on croise sur des sites comme https://tarot-authentique.com – où on sent tout de suite qu’on est là pour explorer, pas pour “prédire”.

Un outil de discernement, c’est quoi au juste ?

Bon, petit rappel : le discernement spirituel, ce n’est pas juste “choisir entre deux options”. C’est un processus plus intime, plus subtil. C’est apprendre à écouter cette petite voix intérieure (qu’on n’entend pas toujours très bien), celle qui murmure “tu sens que c’est pas ça” ou “là, tu touches quelque chose de juste”.

Le tarot, dans cette optique-là, il agit un peu comme une loupe : il agrandit ce qui se passe en toi. Pas pour décider à ta place, mais pour t’aider à voir ce que tu ressens vraiment. À faire le tri entre le brouhaha mental et l’élan du cœur.

Comment s’y prendre concrètement ?

Alors là, je te le dis direct : pas besoin de tirer 15 cartes avec des cristaux en lune montante. Un simple tirage à une carte peut suffire. Sérieux. Voici une manière simple (et ultra efficace) de faire :

1. Prends un moment au calme. Pas besoin de t’asseoir en lotus, mais coupe les distractions. Respire.
2. Pose une question ouverte, du style : “Qu’est-ce qui m’échappe dans cette situation ?” ou “Quelle énergie a besoin d’être entendue en moi maintenant ?”
3. Tire une carte. Une seule. Et regarde-la sans précipitation. Qu’est-ce qu’elle t’évoque ? Quelle sensation elle réveille ?

Je me souviens d’un jour où j’étais totalement bloqué sur une décision pro. J’ai tiré « La Lune ». J’ai d’abord grimacé – cette carte me déstabilise à chaque fois. Et pourtant, c’était pile ce que je vivais : flou, incertitude, intuition confuse. Ça m’a pas “donné la réponse”, mais ça m’a permis d’accepter que le flou faisait partie du chemin. Et que j’avais besoin d’attendre un peu, plutôt que forcer.

Écouter ce que le tarot réveille en toi

Le plus important, c’est pas la “signification officielle” des cartes (même si ça aide d’avoir des bases). C’est ce qu’elles font résonner en toi. Une carte peut évoquer une chose totalement différente selon le moment, le vécu, l’humeur. Et c’est là que le tarot devient un vrai outil de discernement spirituel : quand il sert de déclencheur pour ton propre ressenti, ton intuition, ta sagesse intérieure.

Tu peux même tenir un carnet de tirage, noter ce que chaque carte t’a évoqué ce jour-là. Et relire plus tard. Tu verras, avec le recul, c’est souvent hyper parlant.

Petit conseil si tu débutes

Choisis un jeu qui te parle. Vraiment. Il y a des centaines de tarots sur le marché, du très symbolique Rider-Waite au plus artistique Wild Unknown. Feuillette, ressens. Et ne te prends pas la tête à vouloir tout comprendre d’un coup. Le tarot, ça se découvre petit à petit. C’est un chemin, pas un quiz à réussir.

Ah, et surtout : ne laisse personne te dire que “tu tires mal” ou que “ta question n’était pas bonne”. Le tarot, c’est perso. Ce qui compte, c’est ton lien avec les cartes, ton honnêteté dans la démarche.

Et si on se trompe ?

Bah… tant mieux ? Se tromper, c’est aussi apprendre. Parfois, tu vas interpréter une carte d’une certaine manière, et te rendre compte plus tard que tu étais à côté de la plaque. Et alors ? C’est en forgeant qu’on devient forgeron, non ? Le tarot, c’est vivant, mouvant. Il ne donne pas des réponses figées, il t’invite à entrer en dialogue avec toi-même. Et c’est là toute sa puissance.

En résumé

Utiliser le tarot pour le discernement spirituel, c’est pas une recette magique. C’est une pratique. Une manière d’être à l’écoute. D’ouvrir un espace pour se poser les bonnes questions. Et surtout, de se reconnecter à cette part de soi qui sait déjà… mais qu’on n’écoute pas toujours.

Alors, la prochaine fois que tu hésites, que tu doutes, que tu sens que “quelque chose cherche à se dire”… tire une carte. Juste une. Et écoute ce qu’elle réveille en toi.

Tu risques d’être surpris.

1. Commencer la journée par une intention claire

Pas besoin de réciter un mantra en sanskrit. Juste une phrase. Une direction. Le matin, au lieu de sauter direct sur ton téléphone, prends 30 secondes pour poser une intention. Un truc aussi simple que : “Aujourd’hui, je choisis la paix.” Ou “Je reste ancré, quoi qu’il arrive.”

Perso, quand je zappe cette étape, ma journée part souvent dans tous les sens. Quand je la fais, j’ai l’impression que tout est plus aligné, même si le monde continue à faire n’importe quoi autour.

2. Allumer une bougie (et pas juste pour faire joli)

Ce geste, on le voit dans toutes les traditions. Allumer une bougie, c’est simple. Mais symboliquement, c’est énorme : tu fais entrer la lumière. Tu marques un espace sacré. Et c’est pas obligé d’être religieux ou mystique. Tu peux le faire avant de méditer, de lire un texte inspirant, ou juste pour accompagner un moment calme.

Et si tu veux pousser un peu, pose une intention quand tu l’allumes. Même une pensée. Tu verras, ça change tout.

3. Marcher en conscience (même 5 minutes)

Marcher. Sans écouteurs. Sans scroller. Juste sentir tes pas. Écouter les bruits. Sentir l’air. Regarder les feuilles, le ciel, ton souffle. C’est une forme de méditation active, ultra puissante. Les moines zen appellent ça le kinhin. Nous, on peut juste appeler ça : respirer un peu.

Tu peux le faire en allant chercher ton pain, ou même en marchant dans ton salon. C’est l’intention qui compte.

4. Se poser une vraie question chaque soir

Avant de dormir, pose-toi une question simple mais essentielle. Du genre : “Qu’est-ce qui m’a nourri aujourd’hui ?” ou “Où est-ce que j’ai réagi au lieu de répondre ?”

Pas besoin de noter dans un journal (sauf si t’aimes ça). Juste prendre un moment pour réfléchir. Ça aide à grandir, un peu chaque jour, sans se faire mal.

5. Créer un petit coin sacré chez soi

Un autel ? Non, pas forcément. Juste un coin. Une étagère, un bout de table. Avec un objet symbolique (une pierre, une photo, une plante…), une bougie, peut-être une phrase inspirante. Ce coin devient un rappel. Un repère. Un endroit où tu te reconnectes à toi-même.

Franchement, ça change l’ambiance d’un appart. Et tu n’as pas besoin de beaucoup de place. Même sur une commode Ikea, ça fonctionne.

6. Dire merci. Pour de vrai.

La gratitude, c’est pas juste une mode d’Instagram. C’est un vrai entraînement spirituel. Mais attention : pas le “je suis reconnaissant·e pour mes chaussettes en cachemire” si ça sonne faux. Non. Un merci sincère, même pour un truc tout bête. Un sourire. Un rayon de soleil. Une parole douce.

Moi, j’aime bien le faire avant de manger. Ou juste avant de m’endormir. Et parfois, je me rends compte que les pires journées avaient quand même un truc précieux dedans.

7. Respirer (oui, vraiment respirer)

On respire tous. Mais rarement en conscience. Et pourtant, c’est LA clé. Ferme les yeux. Inspire profondément par le nez. Expire lentement par la bouche. Trois fois. Juste trois. Tu viens de te recentrer. C’est dingue comme ce geste ultra basique peut désamorcer une montée de stress, une crise d’anxiété, ou un gros ras-le-bol.

Si tu veux aller plus loin, essaie la respiration en carré (4 secondes d’inspiration, 4 de blocage, 4 d’expiration, 4 de pause). Testé et approuvé. Même dans une salle d’attente bondée.

En résumé : la spiritualité, c’est pas sorcier

Tu vois ? Pas besoin de changer de vie, de partir en ashram ou de lire 12 livres sacrés. Ces gestes, tu peux les intégrer là, maintenant, dans ta vie telle qu’elle est. C’est du concret. Du simple. Et ça a un vrai impact. Pas forcément visible à l’œil nu, mais ressenti, profondément.

Alors, tu commences par lequel demain ?